Une chanson de 1938 qui va devenir pendant l'occupation un immense succès, évoquant parfaitement l'absence du mari, du fiancé ou de l'amant prisonnier en Allemagne.
J'attendrai
Le jour et la nuit, j'attendrai toujours
Ton retour
J'attendrai
Car l'oiseau qui s'enfuit vient chercher l'oubli
Dans son nid
Le temps passe et court
En battant tristement
Dans mon coeur plus lourd
Et pourtant, j'attendrai
Ton retour
J'attendrai
Le jour et la nuit, j'attendrai toujours
Ton retour
J'attendrai
Car l'oiseau qui s'enfuit vient chercher l'oubli
Dans son nid
Le temps passe et court
En battant tristement
Dans mon coeur plus lourd
Et pourtant, j'attendrai
Ton retour
Les fleurs pâlissent
Le feu s'éteint
L'ombre se glisse
Dans le jardin
L'horloge tisse
Des son très lents
Je crois entendre ton pas
Le vent m'apporte
Des bruits lointains
Devant ma porte
J'écoute en vain
Helas, plus rien
Plus rien ne vient
J'attendrai
Le jour et la nuit, j'attendrai toujours
Ton retour
J'attendrai
Car l'oiseau qui s'enfuit vient chercher l'oubli
Dans son nid
Le temps passe et court
En battant tristement
Dans mon coeur si lourd
Et pourtant, j'attendrai
Ton retour
Et pourtant, j'attendrai
Ton retour
Le temps passe et court
En battant tristement
Dans mon coeur si lourd
Et pourtant, j'attendrai
Ton retour